Canal 2.0

la stratégie

Les grandes compagnies maritimes ont considérablement amélioré la
fiabilité et le cout du transport de marchandises par mer grâce à la
standardisation des conteneurs qui a permis la massification.
Le projet propose une solution disruptive pour l’acheminement à terre
de ces « boites » par transport autonome.

Les avantages par rapport
aux transports existants



par rapport au fluvial

Absence de rupture de charge,
Rapidité
Econome à l’entretien,
Moins d’eau,
Autonome.
Régularité



par rapport à la route

Séparation des flux des marchandises et des personnes,
Economie
Sécurité
Réduction massive des pollutions (absence de particules
fines et d’émission de CO2)

un nouveau mode de transport

Lors de son débarquement chaque conteneur a une destination propre.
Le projet consiste à amener à destination chaque conteneur en le disposant sur un bateau individuel, autonome, circulant sur un réseau de canaux dédiés monodirectionnels.
Ce nouveau mode de transport utilise les technologies digitales et une approche nouvelle pour rendre le trajet fluide sans écluse.
Le transport sur l’eau consomme six fois moins d’énergie que le transport routier, la propulsion électrique permet la suppression des émissions de CO2 et des nuisances sonores, et utilise l’énergie produite en propre sur le territoire national. Les délais d’acheminement n’excèdent pas 3 jours. Chaque canal a un débit de un million de conteneur par an.

Ce système multiplie par deux la capacité de transport des conteneurs sans modifier les routes existantes.

Canal 2.0 est du sur mesure de masse dont l’objet transporté devient le cœur du système.
La séparation des marchandises et des personnes améliore la sécurité
routière. Le réseau prévu au départ du Havre et de Fos irrigue tout le territoire national en privilégiant les zones peu denses et en positionnant les gares fluviales dans les zones à développer.

L’enjeu économique est la division par deux du cout du transport à terre.
L’enjeu écologique est la suppression des émissions de CO2, soit 2 millions de tonnes par an et la suppression des nuisances sonores.